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Plein d’idées me viennent. Tous les jours. À tel point que je ne sais plus à laquelle m’accrocher. Si j’ai du mal à marcher, mon esprit, lui, est un véritable bolide.
Mais le reste de mon corps ne suit pas. Prenez par exemple ma main : je m’installe à mon bureau et saisis un stylo. Et tout ce que j’arrive à écrire c’est « Zut ».
Autre énorme défaut chez moi, qui explique sans doute que je ne serai jamais « écrits vains », c’est la dispersion.
Hé oui, je m’intéresse à mille choses, entreprends plusieurs choses à la fois et je ne les termine jamais. Un ami m’a dit, un jour, que c’était comme si j’avais peur de réussir. La vérité est sans doute pire. Je m’ennuie. Très vite. Du coup je passe à autre chose.
Un autre ami m’a dit qu’il était stupéfait par mon indifférence. Je ne suis pas indifférente. Je me protège, c’est tout.
Au-delà de ces milles choses, ma fille est toujours présente dans mon esprit. Cet ange adorable. Sans elle, je ne serai pas là à déverser mon spleen. Le temps passe. Trop vite.
La formidable aventure du dernier album de JP est loin à présent, du moins pour moi. J’avoue que je n’arrive plus à en parler. Je comprends JP qui n’aime pas s’attarder sur le passé. Il est redevenu peintre et c’est vraiment super !
En fait, et peut-être vais-je faire hurler certains d’entre vous, je crois que je le préfère comme ça. Je garde toujours un souvenir ému de sa période de chanteur, mais j’aime bien ses grandes toiles.
À la sortie des artistes, à l’Olympia, je lui avais demandé s’il peignait toujours. Il dédicaçait des photos ou albums et il a relevé la tête pour me regarder. J’ai cru lire l’étonnement dans ses yeux. J’étais peut-être la première à lui avoir posé la question, je ne sais pas…
Depuis qu’il a repris les pinceaux, mes envies ont prit une nouvelle orientation. À son insu, il m’a incité à pardonner mon père (lui-même artiste-peintre) pour son comportement blessant envers moi.
Voilà. C’était mon « auto-psy » du jour. Porte-vous bien les amis.
Mais le reste de mon corps ne suit pas. Prenez par exemple ma main : je m’installe à mon bureau et saisis un stylo. Et tout ce que j’arrive à écrire c’est « Zut ».
Autre énorme défaut chez moi, qui explique sans doute que je ne serai jamais « écrits vains », c’est la dispersion.
Hé oui, je m’intéresse à mille choses, entreprends plusieurs choses à la fois et je ne les termine jamais. Un ami m’a dit, un jour, que c’était comme si j’avais peur de réussir. La vérité est sans doute pire. Je m’ennuie. Très vite. Du coup je passe à autre chose.
Un autre ami m’a dit qu’il était stupéfait par mon indifférence. Je ne suis pas indifférente. Je me protège, c’est tout.
Au-delà de ces milles choses, ma fille est toujours présente dans mon esprit. Cet ange adorable. Sans elle, je ne serai pas là à déverser mon spleen. Le temps passe. Trop vite.
La formidable aventure du dernier album de JP est loin à présent, du moins pour moi. J’avoue que je n’arrive plus à en parler. Je comprends JP qui n’aime pas s’attarder sur le passé. Il est redevenu peintre et c’est vraiment super !
En fait, et peut-être vais-je faire hurler certains d’entre vous, je crois que je le préfère comme ça. Je garde toujours un souvenir ému de sa période de chanteur, mais j’aime bien ses grandes toiles.
À la sortie des artistes, à l’Olympia, je lui avais demandé s’il peignait toujours. Il dédicaçait des photos ou albums et il a relevé la tête pour me regarder. J’ai cru lire l’étonnement dans ses yeux. J’étais peut-être la première à lui avoir posé la question, je ne sais pas…
Depuis qu’il a repris les pinceaux, mes envies ont prit une nouvelle orientation. À son insu, il m’a incité à pardonner mon père (lui-même artiste-peintre) pour son comportement blessant envers moi.
Voilà. C’était mon « auto-psy » du jour. Porte-vous bien les amis.
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