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jean lou- Admin
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gilo- Messages : 17768
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Agnès- Messages : 327
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Bbel a écrit:Agnès a écrit:Alors, si j'ai bien suivi, je suis à côté de Brille sur la photo... Désolée de ne pas vous avoir serré la main Brille, j'étais un peu surprise... Enchantée donc !
Agnès, tu devras également une part de forêt noire à Brille pour te faire pardonner !
L'addition va être salée si je continue comme ça
mais bon... va pour une forêt noire en plus... 
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
Age : 58
Localisation : Montélimar
brille a écrit:Dommage Agnès! Mais sur quelle photo sommes nous ensembles?!?Agnès a écrit:Alors, si j'ai bien suivi, je suis à côté de Brille sur la photo... Désolée de ne pas vous avoir serré la main Brille, j'étais un peu surprise... Enchantée donc !
Si je ne trompe pas, c'est sur la photo avec Jean-Patrick, Jean Lou, Champi, Bearclaw et Bbel... Vous ne pouvez pas vous tromper, je suis peut-être la seule que vous ne connaissiez pas
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
Age : 58
Localisation : Montélimar
Anne-Marie a écrit:Supers photos et on le voit super ambiance !
Je vous ai tous reconnus... à part ceux que je ne connais pas....
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
Age : 58
Localisation : Montélimar
CHAMPION a écrit:
Heureusement que Champi était là pour photographier le nom de la salle
Bravo Champi pour la très belle photo de Jean-Patrick
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
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Bbel a écrit:Allez ! On vous doit la vérité sur ce qui s'est réellement passé à Thônex le 12 mars.
CHAMPION a écrit:LES ANGES DU FORUM AU PARADIS DE THONEX
Bravo pour vos oeuvres bien sympathiques
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
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Localisation : Montélimar
Agnès a écrit:brille a écrit:Dommage Agnès! Mais sur quelle photo sommes nous ensembles?!?Agnès a écrit:Alors, si j'ai bien suivi, je suis à côté de Brille sur la photo... Désolée de ne pas vous avoir serré la main Brille, j'étais un peu surprise... Enchantée donc !
Si je ne trompe pas, c'est sur la photo avec Jean-Patrick, Jean Lou, Champi, Bearclaw et Bbel... Vous ne pouvez pas vous tromper, je suis peut-être la seule que vous ne connaissiez pas
Et bravo à Keltia pour les très belles photo... D'ailleurs, c'est peut-être Keltia qui nous a photographié
... Et une part de forêt noire de plus 
jean lou- Admin
- Messages : 6994
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Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
_________________
Même si je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, je me battrai pour que vous puissiez le dire.
Voltaire
gilo- Messages : 17768
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jean lou a écrit:Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
Tu veux des Amazones Jean-Lou
Bbel- Messages : 16937
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Age : 65
Localisation : Grenoble
jean lou a écrit:Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
Heuuu... il faut réfléchir avant de défricher !
_________________
L'écriture est un linge frais tendu sur un fil d'encre. (Christian Bobin)
jean lou- Admin
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Localisation : Bassin de Thau
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Voltaire
giordanino- moder'anges
- Messages : 8306
Date d'inscription : 26/05/2009
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Localisation : NICE
aujourd'hui, sur la page FB de JPC :
Speedy V. M'a envoyé ça, du Valais... Comme dirait Johnny: "Ça remet les pendules à leur place" Cliquez sur l'image pour qu'elle devienne LISIBLE
P.S.Je n'approuve pas ce qui est dit sur Renaud...
Jean-Patrick Capdevielle, trente ans de malentendus
Star du début des années 1980, Jean-Patrick Capdevielle sort un nouvel album produit grâce à un financement participatif. Et force est de constater que le rocker vit toujours. Rencontre à Thônex (GE), samedi dernier en sortie de scène.
Par Michaël Perruchoud
La silhouette est celle de 1979, à peine peut-être s’est-il voûté. L’homme qui présente son nouvel album (Bienvenue au paradis) après presque neuf ans d’absence n’a rien perdu de sa superbe. La voix n’a pas bougé, gouailleuse et tendre, elle sait conter la ville, ses impasses, et les nuits d’amour qui marquent au fer rouge. Il suffit de fermer les yeux, et ce n’est pas Thônex 2016, mais Paris 1981…
A juste 70 ans, Jean-Patrick Capdevielle est encore furieusement lui-même… Et c’est bien ce que le monde de la musique lui a toujours reproché.
Capdevielle déguste un verre de champagne, serre des mains – «ce soir, c’est plus une rencontre amicale qu’un concert» – et nous ramène aux sources du malentendu, de cette carrière conçue comme un accident. «Dans les années 1960 et 1970, je vivais en Angleterre, en Espagne, je voyageais aux Etats-Unis… La France, je trouvais ça franchement plouc.» Capdevielle évoque cette existence d’avant, l’époque nonchalante et intense où il croise les Stones, Jimi Hendrix et devient l’ami d’Eric Clapton. Le monde artistique, il le fréquente alors sans penser à s’y faire une place.
A Ibiza, où il se ressource, il compose bien quelques morceaux, s’essaie surtout à la peinture… En 1979, après un pre¬mier 45 tours remarqué, il envoie à CBS les maquettes d’un album imparable Les enfants des ténèbres et les anges de la rue.
« Quand j’entends la musique que des soi-disant spécialistes encensent, quand je vois les commentaires ou plutôt l’absence de commentaires sur mon travail, je me dis simplement qu’ils se trompent ».
Splendeurs à foison
Des chansons imagées comme des films de série B, presque palpables, des ambiances poisseuses, entre petites frappes, quartiers périphériques et amours impossibles: il y a dans ce coup d’essai des splendeurs à foison.
Elle est comme personne, Salomé ou Les bruits de la nuit, témoignent de l’écriture originale et du talent de mélodiste de Capdevielle.
Et pourtant, l’album se résumera pour beaucoup à un tube: Quand t’es dans le désert. Une chanson qui n’aurait même pas dû exister
«J’allais prendre l’avion pour le studio à Londres, et j’écoute le nouveau disque de Cabrel. Je me rends compte alors qu’une de mes chansons est basée sur une mélodie quasi similaire à Je l’aime à mourir. Pas le choix. Je dois la mettre à la poubelle… Et la remplacer, parce que je me vois mal proposer un album de sept chansons. Quand t’es dans le désert, je l’ai écrite ainsi, par nécessité, d’un jet. Je ne l’aimais pas, je ne voulais pas l’enregistrer. Ce sont les musiciens qui m’ont convaincu. Et il a fallu encore me pousser pour que je consente à la mettre sur l’album.»
Entre Dalida et Sheila
Quand t’es dans le désert sort alors en face B du 45 tours, mais ne tarde pas à squatter les hit-parades, et Capdevielle expérimente la phase 2 du malentendu. «Le succès m’a dépassé. On m’a mis à toutes les sauces, sans très bien comprendre ce que je faisais. Il m’est arrivé de chanter entre Dalida et Sheila… Je n’ai rien contre elles, mais j’en suis vite arrivé à me demander ce que je foutais là.»
Le cirque médiatique se révèle pesant, les références plus encore. Capdevielle n’en peut plus du «nouveau Dylan», du «Springsteen français» dont on l’abreuve. «Si j’ai un orgueil, c’est bien celui de faire ma musique. J’ai mon propre univers. Qui ne ressemble à aucun autre.»
«Fier de ce que je fais»
Il le prouve avec En-dessous du pont, Barcelone ou Le long de la jetée, quand la chanson prend des allures de long métrage. Mais alors que l’artiste cisèle ses meilleurs titres, le succès se détourne déjà. Parce que les indomptables ne font pas long feu dans l’industrie musicale et que Capdevielle ne supporte plus le rôle qu’on veut lui faire jouer. Dès lors, les critiques le flinguent, les radios le snobent… Et, pour ne rien arranger, l’inspiration se perd un peu. Le voilà un peu vite rangé au rayon des infréquentables, pire, des has-been.
«Quand j’entends la musique que des soi-disant spécialistes encensent, quand je vois les commentaires, ou plutôt l’absence de commentaires, sur mon travail, je me dis simplement qu’ils se trompent…» C’est un constat sans aigreur.
Capdevielle continue sa route, laissant au passage quelques albums forts honorables. «Je suis fier de ce que je fais, mais je n’ai pas besoin de la musique pour vivre.» Et, ce disant, il évoque le versant matériel, mais également la famille, et son quatrième fils, onze ans, avec lequel il ne veut pas perdre une parcelle de temps.
Du jus et de la verve
Avec Bienvenue au paradis, Capdevielle va au bout de sa démarche de liberté. L’album est financé sur le principe du crowdfunding. Les aficionados répondent présents, la plus grande partie de la somme est réunie en quelques heures. Mais la manière, certes originale, ne doit pas occulter le contenu de cette nouvelle production. Car, contrairement à Renaud, porté par une sorte de charité populaire alors que ses chansons frôlent le pathétique, Capdevielle a encore du jus et de la verve.
Dans Bienvenue au paradis, on s’attarde notamment sur Un jour, je serai vivant ou encore Jour de pluie où il chante, refrain autobiographique et subtil, que «personne n’rêve de faire que c’qui est permis». Et l’on se dit que, tant pour sa contribution au rock français que pour la qualité des présents morceaux, Capdevielle mériterait un tout autre écho. Malentendu, encore et toujours.
Jean-Patrick Capdevielle, Bienvenue au paradis, autoproduit
Speedy V. M'a envoyé ça, du Valais... Comme dirait Johnny: "Ça remet les pendules à leur place"
Cliquez sur l'image pour qu'elle devienne LISIBLE P.S.Je n'approuve pas ce qui est dit sur Renaud...
Jean-Patrick Capdevielle, trente ans de malentendus
Star du début des années 1980, Jean-Patrick Capdevielle sort un nouvel album produit grâce à un financement participatif. Et force est de constater que le rocker vit toujours. Rencontre à Thônex (GE), samedi dernier en sortie de scène.
Par Michaël Perruchoud
La silhouette est celle de 1979, à peine peut-être s’est-il voûté. L’homme qui présente son nouvel album (Bienvenue au paradis) après presque neuf ans d’absence n’a rien perdu de sa superbe. La voix n’a pas bougé, gouailleuse et tendre, elle sait conter la ville, ses impasses, et les nuits d’amour qui marquent au fer rouge. Il suffit de fermer les yeux, et ce n’est pas Thônex 2016, mais Paris 1981…
A juste 70 ans, Jean-Patrick Capdevielle est encore furieusement lui-même… Et c’est bien ce que le monde de la musique lui a toujours reproché.
Capdevielle déguste un verre de champagne, serre des mains – «ce soir, c’est plus une rencontre amicale qu’un concert» – et nous ramène aux sources du malentendu, de cette carrière conçue comme un accident. «Dans les années 1960 et 1970, je vivais en Angleterre, en Espagne, je voyageais aux Etats-Unis… La France, je trouvais ça franchement plouc.» Capdevielle évoque cette existence d’avant, l’époque nonchalante et intense où il croise les Stones, Jimi Hendrix et devient l’ami d’Eric Clapton. Le monde artistique, il le fréquente alors sans penser à s’y faire une place.
A Ibiza, où il se ressource, il compose bien quelques morceaux, s’essaie surtout à la peinture… En 1979, après un pre¬mier 45 tours remarqué, il envoie à CBS les maquettes d’un album imparable Les enfants des ténèbres et les anges de la rue.
« Quand j’entends la musique que des soi-disant spécialistes encensent, quand je vois les commentaires ou plutôt l’absence de commentaires sur mon travail, je me dis simplement qu’ils se trompent ».
Splendeurs à foison
Des chansons imagées comme des films de série B, presque palpables, des ambiances poisseuses, entre petites frappes, quartiers périphériques et amours impossibles: il y a dans ce coup d’essai des splendeurs à foison.
Elle est comme personne, Salomé ou Les bruits de la nuit, témoignent de l’écriture originale et du talent de mélodiste de Capdevielle.
Et pourtant, l’album se résumera pour beaucoup à un tube: Quand t’es dans le désert. Une chanson qui n’aurait même pas dû exister
«J’allais prendre l’avion pour le studio à Londres, et j’écoute le nouveau disque de Cabrel. Je me rends compte alors qu’une de mes chansons est basée sur une mélodie quasi similaire à Je l’aime à mourir. Pas le choix. Je dois la mettre à la poubelle… Et la remplacer, parce que je me vois mal proposer un album de sept chansons. Quand t’es dans le désert, je l’ai écrite ainsi, par nécessité, d’un jet. Je ne l’aimais pas, je ne voulais pas l’enregistrer. Ce sont les musiciens qui m’ont convaincu. Et il a fallu encore me pousser pour que je consente à la mettre sur l’album.»
Entre Dalida et Sheila
Quand t’es dans le désert sort alors en face B du 45 tours, mais ne tarde pas à squatter les hit-parades, et Capdevielle expérimente la phase 2 du malentendu. «Le succès m’a dépassé. On m’a mis à toutes les sauces, sans très bien comprendre ce que je faisais. Il m’est arrivé de chanter entre Dalida et Sheila… Je n’ai rien contre elles, mais j’en suis vite arrivé à me demander ce que je foutais là.»
Le cirque médiatique se révèle pesant, les références plus encore. Capdevielle n’en peut plus du «nouveau Dylan», du «Springsteen français» dont on l’abreuve. «Si j’ai un orgueil, c’est bien celui de faire ma musique. J’ai mon propre univers. Qui ne ressemble à aucun autre.»
«Fier de ce que je fais»
Il le prouve avec En-dessous du pont, Barcelone ou Le long de la jetée, quand la chanson prend des allures de long métrage. Mais alors que l’artiste cisèle ses meilleurs titres, le succès se détourne déjà. Parce que les indomptables ne font pas long feu dans l’industrie musicale et que Capdevielle ne supporte plus le rôle qu’on veut lui faire jouer. Dès lors, les critiques le flinguent, les radios le snobent… Et, pour ne rien arranger, l’inspiration se perd un peu. Le voilà un peu vite rangé au rayon des infréquentables, pire, des has-been.
«Quand j’entends la musique que des soi-disant spécialistes encensent, quand je vois les commentaires, ou plutôt l’absence de commentaires, sur mon travail, je me dis simplement qu’ils se trompent…» C’est un constat sans aigreur.
Capdevielle continue sa route, laissant au passage quelques albums forts honorables. «Je suis fier de ce que je fais, mais je n’ai pas besoin de la musique pour vivre.» Et, ce disant, il évoque le versant matériel, mais également la famille, et son quatrième fils, onze ans, avec lequel il ne veut pas perdre une parcelle de temps.
Du jus et de la verve
Avec Bienvenue au paradis, Capdevielle va au bout de sa démarche de liberté. L’album est financé sur le principe du crowdfunding. Les aficionados répondent présents, la plus grande partie de la somme est réunie en quelques heures. Mais la manière, certes originale, ne doit pas occulter le contenu de cette nouvelle production. Car, contrairement à Renaud, porté par une sorte de charité populaire alors que ses chansons frôlent le pathétique, Capdevielle a encore du jus et de la verve.
Dans Bienvenue au paradis, on s’attarde notamment sur Un jour, je serai vivant ou encore Jour de pluie où il chante, refrain autobiographique et subtil, que «personne n’rêve de faire que c’qui est permis». Et l’on se dit que, tant pour sa contribution au rock français que pour la qualité des présents morceaux, Capdevielle mériterait un tout autre écho. Malentendu, encore et toujours.
Jean-Patrick Capdevielle, Bienvenue au paradis, autoproduit
Dernière édition par giordanino le 19/3/2016, 05:19, édité 1 fois
jean lou- Admin
- Messages : 6994
Date d'inscription : 25/05/2009
Age : 65
Localisation : Bassin de Thau
Bravo Nini !
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Même si je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, je me battrai pour que vous puissiez le dire.
Voltaire
bearclaw- Messages : 4197
Date d'inscription : 26/05/2009
Age : 51
Localisation : M alfort 94
merci beaucoup
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Nous servons le mal
et nous le servons bien
flanders compagny
Bbel- Messages : 16937
Date d'inscription : 26/05/2009
Age : 65
Localisation : Grenoble
Merci pour la vidéo, Jean Lou !
Merci pour la page Facebook, Nini !
Je n’approuve pas non plus que l'on casse du " Renaud " comme ça gratuitement !
Merci pour la page Facebook, Nini !
Je n’approuve pas non plus que l'on casse du " Renaud " comme ça gratuitement !
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L'écriture est un linge frais tendu sur un fil d'encre. (Christian Bobin)
gilo- Messages : 17768
Date d'inscription : 26/05/2009
Age : 68
Localisation : Montréal
Merci Nini
jean lou- Admin
- Messages : 6994
Date d'inscription : 25/05/2009
Age : 65
Localisation : Bassin de Thau
Bbel a écrit:Merci pour la vidéo, Jean Lou !
Merci pour la page Facebook, Nini !
Je n’approuve pas non plus que l'on casse du " Renaud " comme ça gratuitement !
Du Citroën et du Peugeot non plus !
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Même si je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, je me battrai pour que vous puissiez le dire.
Voltaire
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
Age : 58
Localisation : Montélimar
Bbel a écrit:Merci pour la vidéo, Jean Lou !
Merci pour la page Facebook, Nini !
Je n’approuve pas non plus que l'on casse du " Renaud " comme ça gratuitement !
C'est vrai que c'est un bel article sur Jean-Patrick qui le mérite amplement pour son immense talent. Mais je trouve dommage que les deux petites phrases "méchantes" au sujet de Renaud viennent le gâcher ! Cette façon de faire n'est d'ailleurs pas sympa pour Jean-Patrick non plus ! Quand on apprécie vraiment quelqu'un, on ne noircit pas un éloge avec ce genre de remarques que je trouve fort déplacées, injustifiées et d'une infinie bassesse. Soit dit en passant et à moins que l'auteur de l'article ait eu la chance d'écouter le nouvel album de Renaud qui n'est pas encore sorti dans les bacs, je ne comprends pas comment il peut porter pareil jugement alors qu'un seul titre de son futur album (me semble t-il) a été dévoilé publiquement "Toujours debout" ? A mon avis, il s'agit d'un jugement à l'emporte pièce, totalement gratuit pour délit de "sale gueule". Je comprends tout à fait que Jean-Patrick soit heureux d'une telle reconnaissance et c'est tout à fait normal. Qui n'apprécierait pas un article élogieux ? Et j'en suis ravie pour Jean-Patrick ! Je trouve simplement perverse l'attitude de l'auteur de cet article... Bon en fait, j'aurai dû écrire ce message dans "coup de gueule" je crois ?
jean lou- Admin
- Messages : 6994
Date d'inscription : 25/05/2009
Age : 65
Localisation : Bassin de Thau
Bravo Agnès, la bonne révolte a sa place partout sur ce forum ! 
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Voltaire
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
Age : 58
Localisation : Montélimar
jean lou a écrit:Bbel a écrit:Merci pour la vidéo, Jean Lou !
Merci pour la page Facebook, Nini !
Je n’approuve pas non plus que l'on casse du " Renaud " comme ça gratuitement !
Du Citroën et du Peugeot non plus !
Mieux vaut en rire qu'en pleurer en effet ! Quoi que... casser de la bagnole peut-être porteur d'emplois dans l'industrie automobile...
Agnès- Messages : 327
Date d'inscription : 09/11/2015
Age : 58
Localisation : Montélimar
Bbel a écrit:jean lou a écrit:Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
Heuuu... il faut réfléchir avant de défricher !
Ou se rafraîchir avant de déchiffrer (les messages)
jean lou- Admin
- Messages : 6994
Date d'inscription : 25/05/2009
Age : 65
Localisation : Bassin de Thau
Agnès a écrit:Bbel a écrit:jean lou a écrit:Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
Heuuu... il faut réfléchir avant de défricher !
Ou se rafraîchir avant de déchiffrer (les messages)
Des friches et des êtres !
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Voltaire
Anne-Marie- Messages : 3177
Date d'inscription : 27/05/2009
Age : 71
Localisation : près de la grande bleue
Bel article sur JP.
Il le défend c'est son droit et peut-être qu'il dit des choses que gens pensent tout bas
Il le défend c'est son droit et peut-être qu'il dit des choses que gens pensent tout bas
Bbel- Messages : 16937
Date d'inscription : 26/05/2009
Age : 65
Localisation : Grenoble
jean lou a écrit:Agnès a écrit:Bbel a écrit:jean lou a écrit:Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
Heuuu... il faut réfléchir avant de défricher !
Ou se rafraîchir avant de déchiffrer (les messages)
Des friches et des êtres !
Tout bille or not tout bille ! (des billes de bois bien sûr).
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gilo- Messages : 17768
Date d'inscription : 26/05/2009
Age : 68
Localisation : Montréal
Bbel a écrit:jean lou a écrit:Agnès a écrit:Bbel a écrit:jean lou a écrit:Ce n'est plus une forêt Agnès... C'est l'Amazonie !!!
Heuuu... il faut réfléchir avant de défricher !
Ou se rafraîchir avant de déchiffrer (les messages)
Des friches et des êtres !
Tout bille or not tout bille ! (des billes de bois bien sûr).
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