Accueil
Je te découvre un peu plus chaque jour en écoutant tes mots. Les amours ratées, rejetées, malheureuses, se déversent du tourbillon de ta vie intérieure. Le désarroi, la solitude, l’incompréhension, les errements de toutes sortes, mais l’espoir aussi, peuplent tes poèmes visionnaires.
Tour à tour tendre et cruel, tu es comme ces poussières de l’air, qui brille sous les rayons du soleil, que je tentais vainement d’attraper lorsque j’étais enfant.
Malgré les bars de cafard que tu dépeins si bien, les vagues de ma tristesse se retirent. Dans mon brouillard, dans mon désert, je goûte en silence l’ombre des amours perdues. Le vent chaud agite mes espérances.
Je sais, à présent, que l’enfer c’est le bout du voyage d’où l’on ne revient pas. Alors, je cours, je vole, je profite de chaque instant, de peur que s’arrête mon pas.
Je dévore tous les articles qui paraissent sur toi… Mais leurs morsures n’entament en rien le fief que j’atteints souvent après certaines de tes chansons. Tu effaces la frayeur de mes anciennes nuits d’angoisse.
J’attends une tournée pour te voir enfin sur scène et c’est un nouvel album au printemps que tu présentes. Je reçois le titre d’une de tes nouvelles chansons en plein visage. A l’écoute de « Brille », je me demande comment certains osent te qualifier de « plumitif ». Il y a tant d’émotion, de tendresse dans cette chanson et aussi dans « Faut pas qu’au pleures », je ne comprends vraiment pas ce que les critiques te reprochent. Mais je n’ai pas encore tout lu, tout écouté…
Les recherches effectuées dans les archives de Beaubourg et les anciens numéros de revues spécialisées m’ont appris bien des choses… sur tes détracteurs.
Coupable de talent (1983) by F. Godard
Tour à tour tendre et cruel, tu es comme ces poussières de l’air, qui brille sous les rayons du soleil, que je tentais vainement d’attraper lorsque j’étais enfant.
Malgré les bars de cafard que tu dépeins si bien, les vagues de ma tristesse se retirent. Dans mon brouillard, dans mon désert, je goûte en silence l’ombre des amours perdues. Le vent chaud agite mes espérances.
Je sais, à présent, que l’enfer c’est le bout du voyage d’où l’on ne revient pas. Alors, je cours, je vole, je profite de chaque instant, de peur que s’arrête mon pas.
Je dévore tous les articles qui paraissent sur toi… Mais leurs morsures n’entament en rien le fief que j’atteints souvent après certaines de tes chansons. Tu effaces la frayeur de mes anciennes nuits d’angoisse.
J’attends une tournée pour te voir enfin sur scène et c’est un nouvel album au printemps que tu présentes. Je reçois le titre d’une de tes nouvelles chansons en plein visage. A l’écoute de « Brille », je me demande comment certains osent te qualifier de « plumitif ». Il y a tant d’émotion, de tendresse dans cette chanson et aussi dans « Faut pas qu’au pleures », je ne comprends vraiment pas ce que les critiques te reprochent. Mais je n’ai pas encore tout lu, tout écouté…
Les recherches effectuées dans les archives de Beaubourg et les anciens numéros de revues spécialisées m’ont appris bien des choses… sur tes détracteurs.
Coupable de talent (1983) by F. Godard
Un drôle d'oiseau ce Jean Lou 
Heuuu... genre ceci ? :
» Exposition du 9 décembre 2023 au 13 janvier 2024.
» Changement d'heure
» JPC et Renaud / 10.2023
» Halloween 2022
» Changement d'heure
» Triste...
» "Toutes les aventures s'achèvent à Ibiza"
» LES ANNÉES 80